En installant des mini humains stéréotypés perdus dans une forêt de poils, ou à l’orée des poils, dans les interstices de nos corps ou dans nos failles, nous questionnons ce qui est réellement humain. Les figurines ou nos corps – décors ? Nos poils, nos plis, nos “imperfections” existent et c’est beau !
En explorant cette série, nous avons cherché des compositions qui racontent avec humour ce poids de la société et celui du regard des autres sur nos corps, imaginant ainsi des figurines écrasées par des seins, par des fesses, par le poids du culte de la “beauté universelle”.”